Dominatrice Perverse

Clermont-Ferrand

Maîtresse Alex vous reçoit sur Clermont-Ferrand.

 

Venez gouter à ma perversité, impitoyable et complexe dans mon donjon parfaitement équipé (table gynéco, croix de saint André, divers godes, matériel médical et stimulation électrique).

 

Fétichistes bienvenus, mes petits pieds taille 36 sauront vous charmer.

Masochisme

Masochisme

Viens découvrir les sensations de mes fouets et multiples accessoires mêlée à la douceur de mes mains comme récompense.

Bondage / shibari

Bondage / shibari

Tu seras à ma merci! 

Féminisation

Féminisation

Ma petite salope ou ma soubrette, tu seras !

Tes escarpins et ta combi en dentelle t’attendent ici.

Gorges profondes tu me feras!

Scénario médical

Scénario médical

Chère patientèle, Docteur Alex voit reçoit dans son cabinet pour examen approfondi divers… prises de températures, examen de prostate, spéculum, contrôle de la capacité de succion, aiguilles, contrôle du chemin nerveux à l’aide de roulette de Wartenberg .

bondage

BDSM

Bondage

Domination/Soumission

Masochisme

 

feminisa
aiguille maso
fétichisme pied

Venez me rencontrer 

Facilité pour se garer, proche du centre ville de Clermont.

horaire variable me contacter la veille.

 

Adresse

+33622531642

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Quelques une de mes experiences …

C’est quand l’un de mes soumis préférés est arrivé avec un pansement sur le plie du bras que j’ai eu l’idée de la séance sexuelle sportive. En effet, je lui ai demandé de me transmettre le résultat de ses analyses d’abord pour m’assurer que sa santé allait bien car je veux une salope en forme, deuxièmement car un peu jalouse j’estime qu’il n’y a que moi qui ai le droit d’enfoncer des aiguilles (Les jeux d’aiguilles) dans mon cher soumis et troisièmement dans l’espoir de pouvoir le faire souffrir dans la bienveillance pour satisfaire ma perversité d’autant plus sachant qu’il a le sport en horreur!

C’est lors de notre rencontre suivante que j’avais organisé un petit circuit sportif de la plus grande particularité que c’était à but d’entrainement sexuel…

Ici, la tenue de sport optimale est constituée de basket bien évidemment … mais aussi de jolies bas dentelles et surtout sans ces atroces tenues de sport classiques.

Le circuit est composé d’un gode jelly à ventouse rose au sol avec à 10cm de celui-ci un tapis de sport, puis plus loin d’un tapis avec dessus un gode en style cône de chantier haut d’environ 40cm.

Commençons l’échauffement !

D’abord enfilons un grand collier un poil serré afin d’obstruer légèrement la respiration. Les tétons me semblent un peu trop nus à mon goût. Je les lui pince, tords, tire puis j’installe une magnifique chaine pinces tétons. Le modèle avec la chaine qui pends bien et serre bien. Quelques squats permettront d’échauffer les fesses et les cuisses ainsi que des grands puis petits ronds avec les bras. Bien évidemment quelques fessées, effleurement des fesses de mon soumis et petits massages de tétons sont de la partie pendant l’échauffement.

-« Tu me feras des pompes en baisant mes pieds et en suçant le gode à chaque descente » pendant que je jubile en étant debout face à toi à mes pieds dans mes escarpins à talons aiguilles métalliques.

-« tu me feras 20 levées de jambes sur les coudes ! » pendant que je tripoterai et admirerai tes magnifiques fesses et bas en malaxant tes tétons.

-« je vais te promener en laisse jusqu’à ton prochain lieu d’exercice  » dépêche toi ma chienne va plus vite! »

– » tu me feras 10 squats sur le cône de chantier, je veux que ton anus rentre un peu à chaque fois dans le cône, plus tu seras gourmande, plus ce seras dur de te relever ». Je tiens bien le cône et j’inspecte qu’il rentre bien, car je sais que tu es une faignante salope et qui essaiera de mal faire tes exercices.

-« tu resteras gainé du dos pendant 20 secondes allongé sur le tapis les mains et pieds vers le plafond » pendant que je malaxe tes tétons.

Nous réaliserons 3 fois ce circuit. Tu pourras compter sur mes encouragements  » va plus vite salope », « aller ma petite chienne ! dépêches-toi sinon je te fouette en plus pendant l’exercice! ».

C’est terriblement excitant de te voir souffrir, transpirer, manquer un peu de souffle et prendre du plaisir dans la chaleur des picotements des exercices combinés à mes interventions sadiques.

Bien sûr, pour une reprise du sport j’ai eu un peu de pitié que je n’aurai pas lors de notre prochaine séance… peut-être qu’un tapis d’acupression, ainsi que des sangles compressives à picot aux cuisses et aux bras aideront à te discipliner…

Merci pour ce beau spectacle que tu m’as offert.

Des volontaires pour suivre l’entrainement afin de réaliser les JO de la meilleure salope sportive sexuelle ?

 

Maîtresse Alex c’est d’abord un message que l’on envoie et dont on attend impatiemment la réponse. Elle arrive, immanquablement, mais il faut savoir quelque peu attendre pour la recevoir. Et déjà, je suis sur des charbons ardents…

Maîtresse Alex c’est ensuite une porte que l’on entend s’ouvrir. Et quelques pas plus loin, on voit cette porte entrouverte sur ces délices tant espérés.

Maîtresse Alex c’est une pièce que l’on découvre plongée dans une intrigante pénombre, MA c’est une musique dont on sait qu’elle couvrira vos gémissements.

Maîtresse Alex c’est enfin un parfum que l’on reconnaît entre mille et qui est là pour vous rappeler ces précédentes séances si jouissives.

Maîtresse Alex c’est tout cela avant de découvrir son sourire, sa voix, dont on apprendra vite qu’il ne faut surtout pas se fier à son apparente douceur…

Nous commençons à bien nous connaître, elle sait désormais ce qui me fait vibrer, ce côté masochiste qui fait que j’adore m’en remettre à ses talents. L’entrée en matière est simple, je dois me mettre à nu. Et me présenter face à elle. Elle tient dans ses mains ce collier signe de ma soumission, elle se rapproche de moi, le positionne à mon cou et pour l’attacher, se colle presque à moi. Première torture… sentir la chaleur de son corps, ses mains m’effleurer, sa voix qui chuchote à mon oreille. Et savoir que l’on ne peut surtout pas la toucher, je n’ose imaginer les conséquences d’un geste déplacé…

« Tiens, va mettre ça ! » Ce « ça » est une cage de chasteté d’un genre un peu spécial puisque dotée de quelques électrodes électriques qui savent vous faire vibrer. Elle est trop petite pour moi, je ne peux l’enfiler qu’au prix d’une douche glacée sur mon sexe, d’un pain de glace que Maîtresse vient me remettre avec un petit sourire moqueur devant mon air penaud… Puis vient le masque sur les yeux et cet inconnu qui fait battre mon cœur. Maîtresse me mène. cette fois ce sera pour être attaché à la croix. Les stimulations électriques débutent, je suis flagellé par les martinets, mes tétons sont travaillés, doucement, puis sans modération, Maîtresse sait que j’aime cela. J’ai beau la supplier « Pas les tétons Maîtresse, surtout pas les tétons », elle les triture de plus belle ! Ces délicieuses tortures alternent avec des moments de douceurs où je peux sentir sa main se poser sur moi, son souffle sur ma peau, sa voix au creux de mon oreille. Mais le martinet reprend vite, mes tétons sont pincés sans merci, les stimulations électriques sont toujours plus fortes et d’autant plus intenses que mon sexe est dans une terrible érection contrariée par la cage ! Maîtresse titille mon anus, j’ai le malheur de dire que je suis extrêmement sensible de ce côté. « Et bien je vais en profiter » me dit-elle ! Maîtresse me libère de la croix, et me rattache fermement, à 4 pattes sur sa table gynécologique. Me voilà complètement offert. Je sens que Maitresse colle deux patch sur mes couilles, deux autres sur mes cuisses, elle m’enduit l’anus de gel. Les stimulations reprennent, plus seulement sur mon gland, mais aussi sur mes couilles, mes jambes. Cela devient intense, très intense, tellement jouissif ! Et je sens à présent un gode me pénétrer, un gode qui picote, un gode qui électrifie mon anus. Maitresse veille à ce que mon excitation reste au plus haut niveau, elle se colle à moi, m’offre quelques douceurs mais reprend très vite ses tortures. Je sens encore monter d’un cran l’intensité des stimulations, je sens que je perds peu à peu le contrôle de mon corps et de mon plaisir, je suis venu pour cela, pour le remettre avec dévotion dans les mains de Maitresse car je sais qu’elle va pouvoir en jouer et parvenir à me faire complètement lâcher prise, à m’amener à une jouissance sans mesure. C’est le moment d’ailleurs… Maîtresse le voit, le sent parfaitement, elle libère mon sexe et du bout des doigts je peux apporter ce petit complément qui déclenche un puissant orgasme décuplé par cette fée électrique dont je ressens les puissants effets sur mes cuisses, mes couilles et au fond de mon petit trou…

Et le calme revient, Maîtresse me libère, me soutient pour m’accompagner à la douche, j’en ai besoin, cela a été si intense que mes jambes flagellent et ont du mal à me soutenir…

Je prends une douche, me rhabille, Maîtresse m’offre un café, nous discutons de choses et d’autres, de façon presque anodine. Je suis bien, je sens que j’ai reçu une belle dose d’adrénaline ou d’endorphine, que sais-je. Peu importe, c’est à vous que je le dois, Maîtresse, ma vénération est pour vous sans bornes, mes remerciements aussi vifs que le plaisir que vous m’avez accordé !

 

Une découverte

Maîtresse Alex m’a fait l’honneur de me faire découvrir un très bel objet : la cage de chasteté. Elle dispose de plusieurs modèles que j’ai pu tester, pour mon plus grand plaisir…

Le premier en acier, massif, lourd. Lors d’une de mes séances avec elle, Maîtresse me l’a proposé. Et pour des raisons mystérieuses, mon érection s’est faite encore plus intense… Quoi de plus difficile alors d’enfiler un tel objet ! J’ai immédiatement compris pourquoi elle m’a donné en même temps un pain de glace. Hélas, rien n’y a fait, impossible de glisser ma queue dans l’objet ! J’en avais terriblement envie, me sentais d’autant plus excité, ce qui ne calmait en rien mon érection. Mais la dextérité de Maîtresse et une douche très fraiche sur mon sexe, mes cuisses, mon torse, moi qui suis si frileux, sont venus à bout de mon érection et mon petit oiseau fut bien vite enfermé dans sa cage. Les jeux ont pu commencer, mon érection a repris de plus belle mais désormais sérieusement contrariée par la cage ! Maîtresse me flagellait de son martinet, titillait sans merci mes tétons, ce qui ne me clamait en rien… Au travers des barreaux Maîtresse titillait aussi mon gland : sublime torture car cela m’excitait encore davantage de me sentir enfermé dans cette cage sans pouvoir espérer la moindre libération, le moindre orgasme complètement impossible ainsi encagé…

 

La seconde cage est en acier aussi. Un peu plus petite, le métal enferme complètement la queue et le gland et ne laisse qu’une petite ouverture pour le méat. Lorsqu’elle m’a proposé de me la prêter pour quelques jours, j’en fus tout particulièrement heureux ! Je n’ai pas résisté : dès le retour chez moi je tentais de la mettre. Peine perdue, même avec l’aide d’une douche froide… le tube était vraiment trop petit pour ce reste d’érection que j’avais. Et pourtant je savais que ma queue pouvait se faire rikiki lorsqu’elle a bien froid… Direction Internet et ses nombreuses ressources. J’ai découvert la technique de la chaussette : emballer sa queue dans une chaussette, lubrifier et glisser l’ensemble dans le tube et en tirant par l’extrémité de la chaussette. Victoire ! L’oiseau est dans sa cage, clic, le cadenas est fermé. Et là, impossible de se caresser, le tube couvre entièrement gland et tige… d’ailleurs Maîtresse me l’avait formellement interdit… Je prends un plaisir énorme à regarder ma queue dans sa cage de métal, mon excitation grandit, mais le gonflement ne peut se faire, une bosse se forme au niveau du pubis. Et impossible de se caresser, on peu à peine toucher l’extrémité de l’urètre. Je me sens tellement bien… tellement à ma place de soumis… Je sais que je vais la garder durant la nuit, je sais que l’érection matinale risque d’être pénible. Je dors bien, très bien même, et si la cage me réveille parfois, sentir ma queue emprisonnée me rend heureux et je me rendors ! Le lendemain matin, je suis terriblement excité, une terrible envie de me caresser, de jouir. Je ne veux surtout pas enlever la cage, alors je tente de l’utiliser pour de pauvres mouvements de va et vient. Peine perdu… Je prends un vibro et le pose à pleine puissance contre le tube. Là je sens que cette stimulation va me faire jouir mais c’est compliqué, difficile, douloureux. J’y parviens cependant, répandant une belle dose de semence, éprouvant un plaisir intense mais contrarié car je ne suis pas en pleine érection, car Maîtresse me l’avait interdit…

Je laisse la cage en place, pars au travail. On devine une bosse sous le pantalon, mais je suis parvenu à positionner mon sexe emprisonné de façon relativement discrète. C’est délicat de marcher, de s’assoir, mais tellement drôle de discuter avec les collègues avec ce petit secret dans le caleçon…

 

La troisième cage est en plastique, mais elle a la particularité d’être électrifiée… Encore plus petite que les deux autres, pour y rentrer, c’est à grand renfort de pain de glace, de douche froide et mon gland doit être complètement décalotté, entrant ainsi bien en contact avec les électrodes. Dès qu’elle est verrouillée, mon érection revient, et je remplis parfaitement l’objet. Les stimulations électriques commencent par de petits picotements presque des chatouillis, c’est délicieux… Mais Maîtresse ne me laisse jamais trop longtemps en profiter… Elle manie avec un infini talent l’art du crescendo pour m’amener à l’intensité maximale où je ne possède plus mon sexe, il est à elle…

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